L’OPS-Afrique salue la réaction du ministère de la Santé face au trafic de Sang

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L’Observatoire pour la Promotion de la Santé en Afrique (OPS-Afrique) exprime sa satisfaction suite à la réaction rapide du Ministère de la Santé face au trafic de sang révélé à l’hôpital Saint Joseph de Datcha. Le 15 octobre 2024, le ministre a publié un communiqué fixant les prix des produits sanguins et rappelant la rigueur de la loi contre toute vente illicite.

Dans son communiqué, l’OPS-Afrique se réjouit de cette décision tant attendue : « L’OPS-Afrique se réjouit de la réponse du ministre à son cri d’alerte qui vient siffler la fin de la pagaille dans la gestion des produits sanguins. », peut-on lire dans le communiqué de l’OPS-Afrique, signé par son président Ricardo Aklesso Agouzou (photo). L’organisation considère cette intervention comme un “signal fort” pour restaurer l’ordre et la transparence dans le système de santé.

L’OPS-Afrique adresse également ses remerciements à la presse, dont le rôle a été essentiel dans cette mobilisation. Elle félicite les médias pour avoir amplifié l’alerte, ce qui a permis d’accélérer la réponse des autorités. L’organisation encourage par ailleurs les citoyens à continuer de signaler les abus dont ils sont victimes dans les hôpitaux.

« Nous tenons à remercier les médias pour leur rôle crucial dans cette affaire. Leur couverture a permis de sensibiliser l’opinion publique et de pousser les autorités à agir rapidement », a déclaré Ricardo Aklesso Agouzou, président de l’OPS-Afrique.

L’OPS-Afrique appelle à une stricte application des mesures annoncées et veille à ce que cette décision ne conduise pas à des représailles contre les patients. Elle réaffirme son engagement à surveiller la situation pour garantir que les droits des patients soient respectés et que les responsables de ce trafic soient punis conformément à la loi.

« Nous resterons vigilants pour nous assurer que les mesures annoncées soient effectivement mises en œuvre et que les coupables soient traduits en justice », a ajouté Ricardo Aklesso Agouzou.

En conclusion, la réaction rapide du Ministère de la Santé et l’engagement de l’OPS-Afrique à surveiller la situation témoignent d’une volonté commune de restaurer l’ordre et la transparence dans le système de santé. Grâce à cette mobilisation, les citoyens peuvent espérer un système de santé plus juste et plus sûr.

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